De mon île, on voit passer les alizés. Moi, sur le versant nord du volcan, je hume, j'attrape et je jette sur la toile ce qui passe. La table est prête. Je vous invite.
Ne cherchez plus cet endroit : il n'existe plus ! Mais qu'importe, l'énergie et les gens sont toujours là. Le groupe et ses instruments continuent à faire planer des morceaux de Maloya ici et là.